Premières expériences et engrenages : Chapitre 116 : Après la pause

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il y a 1 an

Chapitre 116 : Après la pause

Le sourire qui élargissait l’ensemble du visage de Christian me fit frissonner malgré la température de la pièce que les deux projecteurs avaient élevée aux alentours, sans conteste, de trente degrés. J’essayai de dégager la chaîne du crochet, alors que Vlad fouillait toujours dans le coffre.

Christian avait enlevé sa chemise et ses chaussettes, ne gardant que son survêt taché. Ses yeux sombres et sa barbe le faisaient ressembler maintenant plus à un personnage d’une période mégalithique soulevant des pierres pour assembler des dolmens, qu’à un dominateur tel que Basile, Lucifer ou même Vlad, plus sophistiqué.

Il alluma le plug et me souleva en prenant uniquement appui sur le socle de celui-ci. Le malade, pensai-je. Il allait me l’enfoncer, si loin, comme un suppositoire, que je ne pourrai plus le ressortir. Vlad prit ses photos, tandis que le gorille, content de sa prestation physique, poursuivait sur autre chose.

Il s’agissait maintenant de ces pinces à tétons réglables. Je devais bien avouer que je ne les avais pas serré préalablement plus qu’elles ne nécessitaient pour les sentir tourmenter les bouts de mes seins. Cette fois, elles ne partiraient pas ni en tirant dessus, ni même en les aidant un peu. Elles nécessiteraient, et si j’en avais la force, de tourner les mollettes aussi vigoureusement que l’envie qui il y avait mis à les serrer.

J’étais certain que s’il essayait il pourrait probablement me soulever par la chaine les reliant ensemble. Même Lassie n’osa lui en suggérer l’idée. De nouvelles photos furent prises alors que mains attachées, je ne pouvais plus rien empêcher.

Vlad sortit des cordes qu’il donna à Christian. Ce dernier s’en servit pour m’attacher les coudes, juste derrière la tête, infligeant douleur à ma nuque et à mes épaules, me rappelant une des positions inconfortables de ce weekend. Il continua avec mes cuisses, mes genoux et mes chevilles, puis sous ma poitrine qui s’enroulant de part et d’autre de mon corps dessinaient des formes géométriques dans mon dos et sur mon ventre, la serrant ensuite comme un corset. Serré ainsi, le plug anal en était devenu insupportable.

Un bon quart d’heure passa encore dans cette nouvelle position. Vlad déployait à en prendre le résultat sous tous les angles, avant que Christian ne les ôtât, sous ses ordres, sauf celles des coudes. Lassie ne put s’empêcher alors que Christian passait son visage devant moi, de mimer le poisson de la bouche.

  • Je te devais encore une gifle, dit-il en me balançant une droite qui claque comme un coup de feu.

Je faillis en perdre l’équilibre, debout sur le lit. Ce furent finalement la chaîne et les menottes qui me maintinrent, étirant mes membres dans une position incommodante, prêt à en recevoir une seconde. Il fallait que je trouvasse un moyen d’empêcher Lassie de décider pour moi ou je terminerai ma vie dans les affres des conséquences d’une de ses galéjades.

  • T’aimes ça, hein ! dit-il avant de m’en balancer une autre à peine moins puissante.

Je sentis immédiatement une douleur à l’œil qu’instinctivement je gardais fermé.

  • Arrête, dit Vlad, voyant que cela gâcherait ses photos. Occupe-toi plutôt de ses fesses comme nous l’avions dit, ajoutait-il, tandis que je gardai ma demi-vision, comme un bleu de rébellion, un clin d’œil de résistance, et aussi juste pour gâcher ses photos.

Christian attrapa dans le coffre une longue canne de bois, légèrement souple, avec laquelle il balaya l’air, la faisant siffler comme le bruit du serpent avant que je n’en ressentisse, sous peu, sa morsure. Passant derrière moi, fouettant l’air, le premier coup me brûla les fesses en leur milieu.

  • A un coup toutes les trois secondes et dans la demi-heure qu’il nous reste, cela va te faire… commença-t-il à calculer.

Six cents, mais je doutais que son bras tienne le coup, et j’étais encore plus certain que la peau de mes fesses disparaitrait avant. Concentré sur son calcul mental qui lui coûtait ses derniers neurones, comme en panne, le bras en l’air, il laissait les secondes s’égrener.

  • Beaucoup, finit-il par dire.

Je ne pus m’empêcher de pouffer de rire, en voyant que Vlad était contraint de s’en retenir..

  • C’est ce qu’il marque sur ton gâteau d’anniversaire, demandai-je à Vlad, toujours l’œil fermé, alors que ce dernier s’attachait aux gros plans et évitait mon nouveau visage tuméfié. Beaucoup. De peur de se tromper en comptant les bougies.

  • A propos de compter, je te propose de le faire, on ne s’arrêtera à quarante que si tu arrives à les suivre.

  • Cela en fait quatre, dis-je juste avant de recevoir le cinquième. Comme le nombre de neurones de Dora, le poisson rouge.

Au début et malgré la douleur, cela me paraissait presque supportable. Il n’y avait plus aucune sexualité ou homosexualité dans le déroulement du jeu. Je me retrouvais donc dans ma zone de confort, même si personnellement je ne m’étais jamais fais souffrir autant seul. Je regrettais de compter, car j’aurai beaucoup voulu me laisser aller jusqu’à l’évanouissement et me retrouver le lendemain dans mon lit, comme issu d’un terrible cauchemar jouissif et incandescent.

Mais, plus le temps et surtout plus les coups se poursuivaient, plus la douleur et la conscience de celle-ci s’intensifiaient. La surface de mes fesses, trop étroite pour que l’aléatoire des coups ne les superposait pas, recevait comme une seconde couche parfois une troisième alors que l’ecchymose n’était qu’au prémices de sa formation.

Je continuais à compter en pleurant, et atteint avec soulagement le chiffre de quarante.

  • Si on en prenait une autre, j’aime bien l’antenne, dit Christian sadique.

  • Pourquoi pas, mais j’ai une autre idée pour agrémenter dit-il.

Sans explication, il posa son appareil et, m’enlevant d’abord le plug et les pinces à tétons, mais laissant celles à linge, il commença à attacher une de mes chevilles à un coin du lit, me faisant basculer. Christian, avec qui il échangea un signe, prit l’autre et l’attacha dans le coin opposé. Ils raccourcirent ensuite les cordes jusqu’à écarter mes deux jambes d’un angle dont je ne me soupçonnais pas capable. Outre l’aine, cela martyrisait un peu plus épaules et nuque dont la disposition n’était pas sans rappeler, de plus en plus, l’inquisition moyenâgeuse. Vlad tendit l’antenne à Christian.

  • Tu peux l’atteindre à l’intérieur des cuisses maintenant, suggéra-t-il

A moitié inconscient, je n’anticipai plus ce qui allait arriver, c’est lorsque le premier coup cingla que je compris la différence de sensibilité de cette zone.

J’hurlai.

  • Attends, dit Vlad, montant à son tour sur le lit.

Je craignais qu’il craque. Si je tombais, dans la position dans laquelle étaient mes bras, je craignais de me les déboiter. Mais le lit tint bon. Vlad me bâillonna avec un foulard. Je ne résistai pas pour qu’il descende au plus vite.

  • Il allait nous réveiller tout le quartier, expliqua-t-il, tandis que je me rappelais que je n’étais plus dans le donjon de Maîtresse Diane. Tu peux continuer.

Le second coup me paraissait encore plus efficace. Le bout de la tige métallique alla au-delà de ma cuisse, flagella mes couilles faisant tomber certaines des pinces à linge que je portais depuis plus d’une heure. Le gorille frappa à nouveau augmentant la cadence, alternant l’arrière et l’intérieur de mes cuisses revenant vers mes fesses ou le bas du dos, cherchant quand il passait entre mes jambes à poursuivre l’extraction des pinces. Je grognais à travers mon bâillon, essayer en vain de les compter dans ma tête, tellement ils se suivaient. Toutes les pinces finirent par tomber de mes couilles, clôturant sa session de frappe.

Oubliant mon intention première, j’avais rouvert mon œil. Vlad s’était reculé au fond de la pièce et l’angle de vue s’était à nouveau élargi.

  • On a encore un peu de temps pour une fellation ? demanda le gorille en reposant la tige métallique ensanglantée et prenant l’écarteur de ma maîtresse.

  • Vas-y ! Fais-toi plaisir !

  • Parce que l’enculage, ça ne va pas être possible sans se salir, poursuivit-il, alors que je sentais un filet de sang coulant le long de mes jambes.

Je baissais les yeux et aperçus même des gouttes qui tombaient directement de mes fesses sur les jolis draps noirs.

  • Il va tout te tâcher. Nous aurions dû mettre l’alèse que Basile t’avait donné, poursuivit-il en m’enlevant le bâillon.

A l’énoncé de son nom, mes pensées se focalisèrent. Quand lui avait-il donné ? Hier ? En soirée ? Ce soir, ils jouaient avec Ladyscar ou avec Basile. Je ne voulais pas leur poser la question qui n’aurait rien changé. Mais mon sang se glaça. Je repensais aux derniers évènements. Ils cherchaient à respecter l’heure. C’était donc bon signe. Il était deux heures moins le quart quand l’écarteur reprit place dans ma bouche. Christian baissa juste son survêt encore taché.

  • Tu veux une photo de ma queue, voir ce qu’il peut avaler.

  • Oui, répondit Vlad en reprenant l’appareil qu’il avait posé. On la mettra sur ton profil aussi. Cela excitera tes petits jeunes prépubères que tu veux t’enfiler. Au moins ils pourront s’astiquer le popaul avant devenir nous voir. C’est une cage comme celle-là qu’il nous faudrait, ajouta-t-il, indiquant la mienne.

Le gorille enfonça sa queue dans l’écarteur. Ce dernier possédait dans sa partie interne du cuir souple, permettant au sexe de ne pas entrer directement en contact avec le mécanisme métallique, froid et saillant qui m’ouvrait bouche, lèvres et mâchoire.

Il régla l’écartement pour que cette protection s’ajuste à la pression qu’il voulait ressentir sur son sexe, celle qui le branlerait, le frottant juste ce qu’il fallait pour se trouver l’extase sans aide ni opposition de ma part. Il dut la trouver car malgré le premier éjaculat dans son survêt, il ne prit que cinq minutes avant que son sperme ne se projette avec violence au fond de ma gorge, m’étranglant presque, avec la peur d’étouffer me reprenant.

J’en remerciai même Lassie qui, par ses audaces, l’avait vidé de cette partie qu’il me réservait.

  • Avale, dit-il, opération difficile avec un écarteur.

J’avalai comme je pouvais ce liquide visqueux et tiède. La séance se terminait.

  • On te montrera tes photos et ton site, la prochaine fois que tu viendras. Bien sûr, c’est nous qui répondrons aux invitations. Après les vacances, cela nous reporte au quatre, non ?

Je n’avais aucune idée du calendrier, mais si le quatre était un dimanche, une idée me vint.

  • Le onze, répondis-je en ajoutant une semaine. Je ne recommence pas avant mercredi, inventai-je, devant le regard interrogateur, mais pas suspicieux de mes maîtres.

Après tout, j’avais accepté tous leurs jeux, pourquoi mentirai-je maintenant. Je m’arrangerai pour me faire accueillir deux jours par Valérie ou Nathalie. Je supputais que l’état, dans lesquelles mes fesses se trouvaient, justifieraient un peu de compassion de leur part, ou du moins certainement de l’une d’elle.

Christian m’enleva sans ménagement les dernières pinces de ma poitrine, me libéra les chevilles et me détacha de la chaine du plafond, pour finalement me remettre les menottes dans mon dos, tel que j’étais venu, avec la clé autour du cou.

  • Il est presque deux heures. Tu peux y aller, me renvoya Vlad, mes fesses en sang, souillant par ou je passais.

Je quittai au plus vite l’appartement avant que le gorille ne trouve quelques nouvelles idées ou sévices pour occuper les minutes restantes et gratuites. Je m’imaginais une dernière fessée de ses grosses mains faisant gicler le sang autour de nous.

J’étais heureux que les traces de sang à nettoyer décoraient draps et appartement, comme une punition de leur méfait, bien indolente il est vrai, mais dans cet état, je me raccrochais à toutes imbécilités.

Je redescendis les quatre étages sans la même appréhension. La douleur avait rendu celle-ci presque risible, irréelle.

Arrivé devant la porte, n’ayant forcément pas la clé, je frappai, puis sonnai, mais personne ne répondait.

Que faire ?

Suite et fin dans le dernier chapitre : https://fessestivites.com/recit/199722
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